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Compartimentaliste ©

Dépôt légal du 4 Septembre 2007.

Marque déposée à l'INPI, extension sur Logo de la phrase :

"Éthologie Compartimentaliste, Instinctivation par Lien Sensoriel".
Compartiments de pratique déposés.

Le devoir d'instruction du maître

Pour M. Hubert Belou-Chapelle.







Définitions :

Génome : Patrimoine génétique. Les gènes présents sur les chromosomes contiennent les informations héréditaires qui commandent la formation des structures ou propriétés physiologiques, ainsi que les composantes comportementales (innées).

Génotype : Constitution génétique d'un individu. Il réalise le phénotype (sous l'action des facteurs du milieu).

Gestique : Ensemble des gestes propres à l'animal étudié.

Phénotype : Ensemble des caractères individuels d'un individu. Il est le résultat entre hérédité et facteurs du milieu exercé sur l'organisme au cours de son développement..
Beaucoup "d'éthologistes" confondent le phénotype réel (exprimé à l'état sauvage) et le phénotype biaisé induit par la captivité. Cette erreur les éloigne de la nature profonde de l'animal étudié.

Phylogénétique : Développement des espèces au cours de l'évolution (dont les facteurs sont mutation et sélection).

Onthogénetique : Le développement de l'individu (pré, puis post natal, jusqu'à la mort)

Polyphénisme : Coexistence de plusieurs phénotypes dans une espèce ou population. Peut-être de type Polyéthisme ou Polymorphisme

Polyéthisme : Comportemental : manifestation régulière de différentes expressions de comportements au sein d'une espèce ou population.

Polymorphisme : Apparition régulière de phénotypes différents au sein d'une espère. Repose sur la mutation.

Téléonomie : Étude scientifique d'une finalité programmée (programme inné ou acquis), particulièrement manifeste dans les comportements. Tente de rendre compte d'une cause finale au comportement étudié et pose la question notamment de l'existence d'une conscience animale ou d'un discernement.



Compartiment : Logement neurosensoriel dont la fonction liée au langage instinctif (non verbal), s'étend à l'équilibre psychosomatique.
La systémique compartimentale repose physiquement principalement et premièrement sur des organes sensoriels qui s'étendent depuis les zones externes de la peau et du poil jusqu'au système nerveux central. Une représentation en zones cérébrales est probablement activée lors des communications au même titre que le sont les zones cérébrales humaines dédiées à la parole.
Néanmoins n'oublions pas que le langage canin reste non verbal, et qu'en dehors de tout discours philosophique (conscience, animisme canin ... ), il s'agit d'un langage instinctif.

Le compartimentaliste : s’intéresse aux interprétations éthologiques comportementales des compartiments neurosensoriels qui donnent un point d'accès à une connaissance très avant-gardiste de compréhension et très efficace en terme d'éclairement sur les comportements et les moeurs.
En particulier concernant les échanges postnatals, puis les "jeux" des animaux, mais aussi les retards néoténiques généralisés observés chez les animaux de compagnie ou encore les ataxies spécifiques de développement organo-sensorielles.

En ce qui concerne l'éthologie de fond, la mixité du couple interactif homme-chien devient un sujet nouvellement éclairé par la co-relation basée sur la translittération des compartiments, comme autant d'éléments du langage canin, soigneusement valués de leurs interprétations respectives.
C'est en réalité toute la science du comportement qui est augmentée d'un nouvel horizon, dont un semblant de téléonomie est à présent à la portée des éthologues, ainsi que des propriétaires de chiens.

Il en est ainsi, pour prendre un simple exemple, de l'élément de l'éthogramme dit "morsure à la nuque" (canidés, félidés, équidés même ...), dont l'interprétation anthropocentrique actuelle parait sous deux formes : la première atténuée dite de "transport" (canidés, félidés), et la seconde dite "létale" (secouement létal).
En réalité, et à la lumière de l'étude compartimentaliste, cette zone prend un sens (non divulgué ici pour causes de brevet) rapporté du réel animal, dépendant d'inculcations post-natales, qui couvrent et s'inscrivent dans chacun des stades onthogénétiques depuis les stades post-natals, jusqu'aux stades d'interactions majeurs (dans la meute ou dans le couple homme-chien pour les canidés ).
En sus des interprétations comportementales, apparaissent ainsi des possibilités d'interventions hautement naturelles pour les propriétaires de chiens, puisque puisées dans le potentiel génotypique comportemental !
Et naturellement le profit qualitatif est très positif pour les éleveurs consciencieux qui trouveront dans le Tome II tous les ingrédients leur permettant d'avoir des chiots supérieurs comparés aux autres élevages qui ne sont pas suivis dans la sphère "Compartimentaliste".

Ces possibilités d’interventions et d’interprétations sensées, n'ont rien à voir avec tout renforcement (positif ou négatif), puisque le renforcement est un conditionnement. Ici on préfère parler du langage d'inculcation qui est la résultante entre hérédité et facteurs du milieu - soit dit le "phénotype".
Le conditionnement est l'imposition des manières humaines à des comportements animaux qui oblige l'animal à faire interprétation du désir humain ! C'est cela que tout compartimentaliste considère comme une brutalité, contre nature et donc inférieure à la supériorité supposée de l'homme et à l'intelligence raisonnable que lui vaudrait son statut.
Les possibilités d’interventions des compartimentalistes sont supérieures et naturelles car les gestuelles utilisées sont la translittération de celles animales. Ainsi font-il preuve de cette capacité "supérieure" en s'instruisant des faits mimiques, gestiques et du domaine des us réels de celui à qui ils s'adressent animalement.

En réalité le compartimentaliste disposant de la maitrise de l'éthologie de M. Belou-Chapelle dispose de capacités d'actions, sur le plan relationnel et curatif, respectueuses de la nature animale et d'un niveau jamais égalé car reconnues par le sujet animal.

Si le couple homme-chien est devenu une forme de co-habitation parasitaire en ce sens que l'homme use et abuse ostensiblement, de manière trop exclusive d'activités, de sentiments irraisonnés d'affections pour "son" chien, le Compartimentaliste, lui, connaissant les différentes parts sensorielles - c'est-à-dire les fonctions psychophysiologiques dans leurs différentes modalités - détient la capacité de rétablir une certaine relation de symbiose harmonique dans ce couple. Symbiose basée sur les échanges interactifs qui instaurent le dialogue sur le plan instinctif entre l'homme et son chien.

Au-delà de la science pure s'impose alors l'avènement d'un nouvel ordre de perception où l'homme retrouve une certaine animalité perdue, et où le chien acquière ce supplément d'âme qu'il a toujours cherché dans ses rapprochements avec l'animal humain. Ce que M. Belou-Chapelle a appelé simplement le "Lien Mystérieux".



Pour tous ces faits et toutes ces raisons le terme "Compartimentaliste" méritait un traitement spécifique puisqu'il représente une somme importante de découvertes inédites exposées dans les livres de M. Belou-Chapelle.